Gauthier
Chuchoter
Mon pays, si c’était une femme ce serai ma mère. Elle me prendrait dans ses bras et me chuchoterait des mots apaisants.Toujours là, avec sa chaleur, quoi qu’il arrive.
Amanda
Début
Mon pays, si c’était un chiffre, ce serait le numéro 1.Un pour la première fois, un pour le meilleur, un pour le début, un pour commencer.
Mia
Education
Être à l’étranger, c’est traiter la détresse de l’étranger avec tendresse qui vient du cœur tout en douceur, voilà!. Apprendre à l’étranger, c’est vaincre les paradigmes dans une langue pour en reconstruire d’autres dans lesquels la motivation de l’apprenant parfois exposée aux regards très exigeants des enseignants devient toute une histoire des actes et de mots d’une nouvelle révolte qu’on récolte pas à pas pendant l’apprentissage. Apprendre le français, c’est un défi choisi depuis longtemps pour faire plaisir plutôt à l’intention de l’inconscient qui est devenu à l’heure actuelle la volonté. C’est rare, même bizarre, comme la passion de collectionner des oeuvres d’art fausses! Apprendre le français, c’est en fait étrange pour un étranger qui a envie de voyager. C’est découvrir le monde dans la beauté de l’art pour achever des objets dénommés souvenirs, des simples pièces fausses semblables au regard d’un vrai collectionneur d’oeuvres d’art fausses. Tout un métier qui permet d’avoir un autre regard car pour lui «la falsification exacte d’une oeuvre d’art est un art respectable» comme par hasard, le fait d’apprendre une autre langue : l’être devient un faux de sa propre langue en jouant une autre pièce. Il suffit de se laisser glisser entre la douceur des bouquets de glace et ainsi se sentir content d’apprendre la nouvelle palabre, encore une fois, il faut comprendre aux enfants, il faut faire rimer la tradition du système éducatif. Parler le français, c’est juste utiliser la mémoire pour laisser faire le savoir faire car il n’y a pas une saison dans laquelle la chaleur se transformera en stupeur. Être en France, c’est vivre mon rêve en vrai.
Patricia
Force
Mon pays, si c’était un animal, ce serait un aigle. Libre, fort et plein de courage, mais avec la tête gonflée dans les nuages.
Sara
Gourmandise
Mon Pays, si c’était une banane mûre, je la mangerais. Une fois mangée ; il y aurait autre chose. Une fois absorbée, d’autres fruits se présenteraient.
Gauthier
Humour
C’est vrai que le sens de l’humour, selon la langue, n’est pas la même chose! Par exemple, celui des Anglais avec «Mr. Been». Voilà, pour sourire, il paraît qu’il faut souffrir pour les «British»… tout en noir ! Mais en même temps, il nous donne un sentiment jubilatoire qui nous fait nous sentir détendus dans un lit de roses aromatiques voire exotiques. D’un autre côté, le sens de l’humour français, je l’entends comme un message indéfini. Bof! Il faut prendre au moins une demi-heure pour arriver à comprendre le sujet qui cause le «rire». On commence à regarder autrui avec une expression simulée! Eh, notre visage est super contracté, on essaie de rire, mais ce n’est pas naturel : tout rouge, dans le sombre de la figure, le signe de l’interrogation. Tout au long d’une pièce humoristique, on commence à regarder les autres pour trouver quelqu’un avec la même expression sur sa figure. Enfin, quand les regards se rencontrent, on «exploite de rire » mais de ne pas pouvoir «sourire» de la blague qui a déjà dépassé plusieurs fois la vélocité de la lumière…Plaf! Welcome the tourist, la bienvenue, mi casa es tu casa !
Patricia
Inconnu
Mon pays, si c’était une riviere je souhaiterais qu’elle soit longue et profonde. Elle m’emmènerait où je veux. Elle m’emmènerait vers l’inconnu, là où tout serait encore possible.
Gauthier
Jour
La bibliothèque, la salle d’étude, le dortoir, le coin que j’aimais, les chemins, la cantine, la passerelle, les cybercafés, les restaurant gastronomiques, la porte de l’université. Mes jours sont passées en allant d’un lieu à l’autre. A ce moment-là, j’avais moins de stress, j’étais heureux. Dans ces lieux où je faisais mes études, je rencontrais des amis, et notamment, j’ai trouvé une autre partie de ma vie.
Feng Tao
Khmer
C’est la langue de la population qui habite le Cambodge selon le dictionnaire Le Robert, bien que, pour moi, il s’agisse de ne pas laisser mourir l’espoir de l’avenir de la balade improvisée produite par la grande marée qui garde le peuple du Cambodge et lui donner encore des forces pour aller encore plus loin jusqu’à l’éternité.
Patricia
Lancée
Aller à la rencontre des langues, c’est entrer dans un nouveau monde, c’est ne rien comprendre, c’est se défier pour trouver la signification, c’est essayer d’ouvrir des portes fermées, c’est céder mais tout de suite recommencer, c’est lutter et gagner son trophée de rêves : le bilinguisme. J’ai commencé mon voyage et je me suis lancée dans un univers inconnu.
Monde
Dans ce monde, «le chef d’orchestre» est le sujet dessiné par le peintre! Celui-ci est doté de parties mélodiques qui donnent la forme à sa figure toujours magique avec l’air de connaître l’inconnu car la vie dans ce espace libertaire est comme un mauvais tour de magie, encore pire qu’un jeu d’illusions, de sorcellerie : un monde de rêves où nos amours s’égarent dans un mensonge qui vient et qui part. Je me permets de dire que ce Monsieur où cette Demoiselle est un mythe voyageur entre le passé et le futur, encore, a pu créer une sorte de solidarité légendaire entre « tous pour une » où bien une pour tous les musiciens qui font partie de l’amour pour le rythme, la valeur de la musique, et toujours la reconnaissance de la vraie parole dans les paroisses musicaux, par exemple : le piano, la flûte, les violons, la batterie, la guitare, etc. c’est ainsi comme tous composent l’orchestre du «Painting Repainting». Lorsque l’ambition détruit tout le bonheur dans cette réalité parallèle entre la tradition et l’innovation, entre l’ancien et la nouvelle révolte des sons, chansons voire rythmes de vie. Bref, ce mythe est capable de la reconstruire dans un seul coup d’œil de son harmonieux fragile et doux. Une telle exécution mène le soleil à briller pour toi! Juste pour te faire plaisir, pour te faire sourire…Voilà, devenir heureuse à n’importe quel moment… toujours dans ce monde !
Patricia
Novateur
Aller à la rencontre des mots, parler, prononcer, rigoler, trouver, expliquer, conjuguer, jouer, écrire et lire, me permet de m’ouvrir, de me développer, d’élargir mon horizon et mon vocabulaire, de faire connaître l’inconnu, les histoires et les aventures afin d’enseigner et de découvrir.
Mia
Obscurité
Parfum
Mon pays, si c’était un parfum, ce serait le parfum du printemps. Un parfum dans lequel on tomberait amoureuse en le respirant pour la première fois et que tu n’oublierais jamais, car il serait déjà rentré dans tes veines et dans chaque cellule de ta peau.
Maria
Queue
Se lever tôt le matin, choisir un bon roman, tirer de l’argent, se promener jusqu’au à la destination désirée, être à l’aise, entendre la nature, apprécier la vie me permet de faire la queue pour prendre un café.
Jenn
Realité
Oh ciel! Quel avenir ! La réalité est faite de hasard. Tout a un sens involontaire d’être. Même cet abécédaire que je suis en train de faire je vais le dédier à la «langue khmer» parce que, grâce au hasard, j’ai eu le bonheur de tomber sur ce mot alors inconnu à mes sens, qui sait? Pourquoi pas une chance pour connaître dans l’absolu une belle façon de s’entendre. Peut être, parce que je voulais chanter une chanson qui exprime la passion de vivre un espace à deux dans un seule réalité, une façon de comprendre des histoires de vies, de partager mon côté fragile dans un rendez-vous: un café sur la place après le déjeuner; un thé parce qu’il fait froid ; un petit moment de calme…enfin j’attendais tout ça! La belle collections des moments que j’habite encore je sens comme un regard qui se pose sur moi, je choisis qui me va aussi de me dévoiler à la terre entière, je préfère me sauver en préservant mon univers tout au long de mon passage dans cette réalité comme une vie parallèle, voilà ! On se dit que pourtant il en a fallu du courage pour refaire le sourire, le numéro cent …finalement j’aurais bien aimé!...Oh ciel!
Patricia
Soleil
Mon pays, si c’était un objet, ce serait le soleil. Un symbole de chaleur, d’énergie et de vie éternelle. Plein de richesses : l’or et la myrrhe, le bronze et les bijoux ; et de secrets ; l’amour et le meurtre, la trahison et l’infidélité. Mais toujours prêt à donner son cadeau précieux du soleil à ceux qui viennent lui rendre visite.
Sara
Zut
Zut alors, c’est fini !
Noëlle
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